• The Early Bird 31/10

    The Early Bird 31/10

     

    AraignéeHello les zamies et les zamis !!                                                                                         Araignée

    Ca sent le paté par endroit. On verra bien
    Attention au changement d'heure, on va être décalé face aux Gringos d'une heure pendant quelques jours. 

    A noter qu'on a eu "El Signaletto" UT2H.... sur 3353.....

    Hello les zamies et les zamis !!

    Bon en jaune, je crois que c'est clair, une demi ETE. Reste à voir si ce n'est pas trop anticipé d'imaginer que l'on va compléter la figure en suivant la ligne.

    Ca dirait quoi si on respecte le tracé en pointillé ? ça nous ferait un go to 3200/3220.... puis rebond pour matérialiser la ligne de cou mettons 3280/3300 puis donc badaboum. La figure doit bien mesurer 250 points de hauteur.

    On en est pas encore là. At time on suit le Signaletto qui nous a dit short depuis les 3353, confirmant donc le plan trade short des Dredi vers les 340X.

    De toute façon on a le gap à 3228/5 qu'il faudrait combler donc encore une assez bonne raison pour faire un peu de marche arriére.

    Au chapitre des news, il semble que beaucoup de modération est apporté au plan européen, et pour cause, on semble disposer de quoi soigner donc le mal, mais pas la cause. Ca peut donc continuer semble t'il se dire.... possible, mon raisonnement est que celà donne de quoi tenir jusqu'aux grosses élections notament pour le couple franco allemand, et que donc le plan n'est qu'une rustine, pas un pneu neuf.

    En Asie... le market est plutot "stable" juste une belle intervention de la Banque du Japon sur le YenDol... la paire passe d'un parité de 76 (gloups.....) à 79 en l'espace de quelques minutes. Chez nous celà influence pas mal l'euro qui lache 150 pips et retrouve la zone 1,40. Un objectif vers 1,39 semble pas déraisonnable.. et donc rendre au marché la totalité de la hausse des 2 derniers jours... et si on doit aller revoir le bas du downing channel, bé ça fait 1,345 en gros.... les 1,39 c'est le "MID" de notre channel....

    Comme quoi ce que je racontais ce week end sur le niveau de l'euro dans le haut du "downing chanel"... y'a des hasards des fois... je vous dis pas.

    Outre l'aspect ponctuel de l'intervention japonaise, celà pése donc sur l'euro et ne facilitera p'tet pas la montée du CAC hein ?

    Donc donc donc avec une oepn sous le low de Dredi (3333).... l'objectif serait 3266 en intermédiaire et en final 3225 .... p'tet même un peu plus, on verra selon les circonstances, les précurseurs nocturnes ne sont pas encourageants pour la hausse et graphiquement ça commence drolement à se compliquer.

    Parait qu'en coulisse on "chasse" le carnet de chéque chinois pour alimenter le FESF.... mais sans contrepartie bien entendu, c'est juré !!. Je sais pas vous, mais les Contes de Noël il me semble que ça marche que pour les enfants de moins de 5 ans ?

    Donc retour dans la zone d'influence de la RED BOX.... sans doute comblement du gap.. puis un réflexe de trouille (car red box nous montre le bas vers 3085)... mais au final... ça pourrait être ça la cible finale...

    On pose un stop bien entendu sur un signaletto "reverse", ce qui je le rappelle est une ouverture de bougie UT 2 heures au dessus de la MA7... ou une méche haute qui viendrait dépasser la "bollinger sup" réglée en 0,5....

    Bonne journée, bons trades et gagnez des sous !!

     

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  • Commentaires

    1
    Sora2 Profil de Sora2
    Lundi 31 Octobre 2011 à 00:30

    Le vrai-faux sauvetage de la zone euro

    Le sommet du 26 octobre devait être le dernier pour résoudre la crise. Il pourrait au contraire marquer le début d'un long chemin.

    Ce devait enfin être le sommet européen capable de juguler la crise. Après l'échec du plan de sauvetage du 21 juillet, celui du 26 octobre devait stopper la spirale qui menace depuis des mois l'existence même de la monnaie unique. Nicolas Sarkozy n'avait lui-même cessé d'en dramatiser les enjeux, estimant que "l'avenir de l'Europe" était en jeu.

    Sur le papier, le résultat est plutôt encourageant. Les dirigeants européens se sont enfin résolus à adopter la stratégie longtemps jugée gagnante par nombre d'observateurs : ils ont desserré l'étau de la dette grecque en effaçant 50 % des créances détenues par les banques. Ils ont accepté la recapitalisation de ces dernières pour leur permettre d'encaisser les chocs. Ils ont surtout élargi le fameux pare-feu destiné à éviter que l'incendie grec ne se propage à toute la zone euro : la capacité d'action du Fonds européen de stabilité financière (FESF) doit passer de 440 milliards d'euros à 1 000 milliards. Trois mesures censées garantir qu'aucun autre pays ne demandera plus de remise de dette aux investisseurs privés. Les Européens s'y sont engagés collectivement.

    Cette solution interdite

    Les marchés peuvent-ils leur faire confiance ? Non, répond l'hebdomadaire britannique The Economist. "En pleine lumière, impossible de ne pas voir les failles du plan de sauvetage." Le jugement est sans appel : "Les Européens ont encore une fois échoué." Eric Dor, directeur de la recherche à l'Insitut d'Economie scientifique et de Gestion (IESEG), se montre plus prudent : "C'est un pas dans la bonne direction mais ce n'est pas suffisant." Sur le fond, le constat est toutefois le même : "L'Europe a toujours une guerre de retard (...) On a laissé la contagion se propager à l'Espagne et à l'Italie. Il aurait fallu aider davantage la Grèce dès le départ et restructurer sa dette. Maintenant, le coût sera plus élevé." La faute notamment aux traités européens qui interdisent à la BCE de racheter de la dette publique lors de leur émission, ce qui revient de fait à créer de la monnaie pour financer les États. Il suffirait pourtant qu'elle le fasse pour que "la spéculation cesse immédiatement", estime Eric Dor.

    Pour remplacer la principale arme dont dispose la banque centrale des États-Unis, les Européens comptent sur le FESF et ses "1 000 milliards d'euros". Problème, "parler de 1 000 milliards d'euros de capacité de prêts relève d'un abus de langage", souligne Christian Saint-Étienne, professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)*. "Il s'agit d'un objectif mais les moyens d'y parvenir ne sont absolument pas donnés." La directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, le reconnaît dans des termes très diplomatiques : "Au cours de la période à venir, il importera de préciser davantage les modalités du fonctionnement de ce FESF renforcé et de la mobilisation des concours dans les proportions envisagées", écrit-elle dans son communiqué post-sommet.

    Un pare-feu encore fictif

    L'idée des Européens est d'utiliser l'argent encore disponible - 250 milliards d'euros, une fois déduits les engagements pour aider les pays sous perfusion de la zone euro et du FMI - pour démultiplier sa force de frappe en garantissant une partie de la dette des États en difficulté, y compris l'Espagne et l'Italie, lors de son émission. L'autre option est de faire appel à des bailleurs de fonds internationaux (la Chine serait sur les rangs). Encore faut-il trouver des volontaires... Car, comme le souligne Christian Saint-Étienne, l'Allemagne et la France sont les deux principaux piliers du FESF. Et l'Hexagone, engagé à hauteur de 200 milliards d'euros de garanties, pourrait se révéler moins solide qu'il n'en a l'air. S'il venait à perdre son précieux AAA, la meilleure note souveraine décernée par les trois grandes agences de notation, le FESF s'effondrerait comme un château de cartes.

    L'irréductible dette grecque

    Quant à la Grèce, elle est loin d'être tirée d'affaire. Selon les Européens, la dette du pays sera réduite de 100 milliards d'euros grâce à la participation accrue des banques. Mais Georges Ugeux, ancien vice-président exécutif international du New York Stock Exchange et patron d'une mini-banque d'affaires internationale, soupçonne les Européens de "maquiller les chiffres". Selon ses calculs, les banques européennes ne détiennent que 81 milliards d'obligations grecques. Une fois déduit l'effort à fournir par les banques grecques elles-mêmes - qui devront être nationalisées pour encaisser le choc -, ce chiffre tombe à 32 milliards. Avec la décote de 50 % décidée mercredi, l'effort des banques n'est plus que de 16 milliards... sur une dette totale de 350 milliards ! Pas une goutte d'eau, mais presque ! Les autres créanciers, eux (BCE, FESF, Asset manager, hedge funds, autres banques centrales), ne participent en rien à l'effort. "Il aura fallu toutes ces discussions pour ne rien mettre sur la table ; je tombe des nues", lâche Georges Ugeux. Les Européens le reconnaissent eux-mêmes, la dette publique grecque ne devrait revenir à 120 % du PIB qu'en 2020. "Soit autant que la dette italienne actuelle, dont on nous dit déjà qu'elle est intenable", souligne Eric Dor.

    Un autre risque se profile. La recapitalisation à marche forcée des banques européennes, qui doit s'achever en juin 2012 et non plus 2017, pourrait déclencher une raréfaction du crédit et amplifier le plongeon de la croissance. Car pour accroître leurs fonds propres, les banques seront tentées de conserver l'argent destiné au financement de l'économie.

    Le péché originel de l'euro

    Plus grave encore, "l'euro, tel qu'il est conçu actuellement, n'a plus de sens", s'inquiète Eric Dor. Pour que la monnaie unique survive, "il faut à tout le moins un fédéralisme fiscal" susceptible de combler les écarts de compétitivité qui se sont creusés au cours des années entre les différents pays, explique l'économiste. Mais les Européens commencent à peine à effleurer le sujet. En attendant, la France va devoir relever le défi de sa compétitivité, prévient Christian Saint-Étienne. Faute de quoi, son AAA est condamné et le FESF avec. Le sommet européen a sans doute permis à Nicolas Sarkozy d'acheter un peu de temps, en calmant provisoirement les marchés. Jusqu'aux élections.

    2
    ptitrade
    Lundi 31 Octobre 2011 à 08:38

    bonjour tous le monde,

    Petite remarque sur la technique Ma7. La deuxième bougie, "El Signaletto", fait souvent un bisou à la ma7 avant de confirmer le mouvement.
    Donc, pour les téméraires, dans le cas présent y avait moyen de rentrer quelques points plus haut.

    Hormis le short time à 3410, bien sùr. d'ailleurs à 3413 il y avait la médiane du 04/08/11. Belle bougie red !!

    3
    monica1
    Lundi 31 Octobre 2011 à 10:34

    help : le stop à 3364 ? c'est loin, non ?

    4
    doudou13010 Profil de doudou13010
    Lundi 31 Octobre 2011 à 13:48
    5
    doudou13010 Profil de doudou13010
    Lundi 31 Octobre 2011 à 17:43

    bravo pour le tracé alex. gaffi à tous aux intermédiaires financiers choisis, faillite de MF aux US ce jour, tenait les comptes futures de pas mal de monde dont IB et WHS je crois.

    6
    Lundi 31 Octobre 2011 à 18:11

    arf doud.. 55 milliards.. ça va ça vient comme la queue du chien !

    Quant à Mâme Monica;. qui a du faire pas loin de 200 pions la semaine derniére.... quoikiya hein ? passe sur le tchat j'ai po pigé ta remarque (mais bon j'ai pas les yeux en face des trous en ce moment, sauf question prévision où là.. mon dieu.... ça se passe comme dans un rêve)...

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