je me disais la même chose ce soir sur le sp des hauts de moins en moins haut idem pour les bas moins bas,

phase de contraction du genre de celle dont tu te dis ça va sortir violement

ben vi mais par le bas

le lien du graph daily

http://nsa27.casimages.com/img/2011/11/16/111116103712254204.png

c'est chaud pour le canal,mais on a 1120 dessous du coup on enterre pas encore l'affaire.

je veux dire gaffe aux shorts têtes baissées

hello toutes et tous,

je reviens de New york où j'ai fait le marathon que j'ai fini! mais les 10 derniers km ont été durs!

suis ok sur ligne de tops descendantes!

pour moi l'affaire est dans le sac. le test se fera à 2985 (autour de). rupture ou rebond sur ce niveau.

Je prends l'hypothèse rupture car les rumeurs et les sorties de nos politiques me rendent assez pessimistes. toujours le déni de la réalité.

Si l'on fait l'analogie avec la transformation des systèmes, il y a 4 étapes (voir Elisabeth Kubler Ross  - Préparation à la mort) qui sont :

- Le choc

- le Déni de réalité

-la tristesse et l'acceptation

- l'imagination d'un nouveau

Bonne nuit

La convergence franco-allemande en question

Selon le patronat, le décrochage français par rapport à l'Allemagne date des années 2000, notamment au moment de la mise en place des 35 heures et de l'harmonisation des smics qui a suivi...

Jean-Louis Thiériot : Ce diagnostic me paraît très largement juste. D'autant plus que l'Allemagne a transféré une partie des charges sociales sur la collectivité par le biais d'une TVA. C'est plus une "TVA emploi" qu'une "TVA sociale", car le but est d'éviter les délocalisations en taxant aussi les importations. Au final, les prélèvements sociaux représentent 22,4 % du PIB de la France alors qu'elles ne sont que de 15,1 % en Allemagne.

En revanche, si les 35 heures ont contribué à désorganiser les entreprises et ont représenté un coût, toutes les études montrent qu'on travaille aujourd'hui autant en France qu'en Allemagne, voire un tout petit peu plus. Mais c'est vrai que les 35 heures supposent une gestion juridique complexe qui peut handicaper les PME.

N'y a-t-il pas d'autres éléments que les coûts salariaux élevés qui expliquent le décrochage industriel de la France par rapport à l'Allemagne ?

Tout à fait. L'Allemagne a une tradition industrielle beaucoup plus importante que chez nous. Les ingénieurs sont beaucoup plus représentés dans les conseils d'administration. Par ailleurs, l'Allemagne a fait le choix d'une spécialisation sur les produits de qualité. Cela passe par une recherche-développement beaucoup plus dynamique qu'en France (près de 10 % de la valeur ajoutée des entreprises allemandes, contre 6 %). Les Allemands maîtrisent aussi beaucoup mieux les langues étrangères et ils ont une vraie culture de l'apprentissage et de respect du travail manuel. Une société comme Würth a ainsi réussi à devenir un des leaders mondiaux dans la fabrication de vis, qui n'est pas un produit de très haute technologie ! Enfin, les entreprises coopèrent plus entre elles. En Bavière, par exemple, elles ont développé des plates-formes de recherche communes à toute une série d'entreprises en informatique avec le soutien du Land et non pas de l'État fédéral.

Faut s'aligner sur l'Allemagne ?

Chaque pays a son ADN propre. Un pur copier-coller n'aurait pas de sens. Il faut clairement aller vers une réduction des charges pesant sur le salaire net, comme en Allemagne. Mais cela marche aussi en sens inverse : les Allemands réfléchissent aujourd'hui à la mise en place d'un salaire minimum alors que les salaires sont particulièrement bas dans certaines branches. La convergence va dans les deux sens.

Comment la France peut-elle rattraper son retard industriel ?

Par l'instauration d'une TVA emploi ou relocalisation, ce qui est essentiel ; en développant la recherche et ses pôles de compétitivité et en renforçant les liens universités-école avec les entreprises. Il faut aussi réformer l'indemnisation du chômage, qui dure 24 mois sans dégressivité, alors qu'elle dure 12 mois en Allemagne, ce qui incite à trouver un emploi plus rapidement. Ces politiques économiques sont efficaces, comme le montre l'exemple allemand. Il faut se souvenir qu'en 2003, au moment où ils ont lancé le plan de réformes Agenda 2010, les Allemands étaient extrêmement pessimistes sur leur avenir économique !

Cela veut dire qu'il va falloir sacrifier le modèle social français ?

Les classements OCDE montrent que les deux pays ont des politiques sociales relativement protectrices. C'est vrai qu'en Allemagne les 10 % de la population la moins fortunée, notamment étrangère, ont souffert des réformes, il ne faut pas le cacher. Il y a eu une croissance des inégalités qui pourrait apparaître en France. Maintenant, la contrepartie des efforts réalisés de 2003 à 2010 porte ses fruits : les accords de branches, qui fixent les salaires sur cinq ans, prévoient, en moyenne, une hausse des salaires de 2,5 % hors inflation... L'Allemagne, qui avait préféré la compétitivité à la consommation, commence à opérer un rééquilibrage. Par ailleurs, une forme de smic pourrait être introduite et une baisse des impôts est prévue pour les revenus les plus faibles et les classes moyennes.

Est-ce que l'Europe a réellement intérêt à copier le modèle allemand qui repose sur les exportations vers ses voisins ?

Si le reste de l'Europe se réindustrialise, ce n'est effectivement pas une bonne nouvelle pour les Allemands, car 60 % de leurs exportations vont vers l'Union européenne. Mais cela relancera la croissance européenne et profitera donc à l'Allemagne. L'Europe sera aussi plus compétitive pour conquérir les marchés émergents.

pour finir j'ai tenté la sortie de triangle en ut 30,short sur pull back ce matin

la sortie 1264 hauteur triangle 29 points objectif 1215,mais si je ne me fais pas stopper avant je pose stop suiveur sérré à partir de 1220