• The Early Bird 16/05

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    Donc at time je publie en double.... travail supplémentaire, juste pour respecter 2/3 choses.

    J'ai laissé le module pub d'over blog ouvert à bloc (donc tout est autorisé) faites comme bon vous semble, consultez un blog ou l'autre, ou les 2.

     

    Le blue box est orange (ça c'est pour Cerise.. gnéhéhéhé) on sort d'un coté ou de l'autre je m'en tamponne le coquillard. Mais purée qu'on sorte !!! marre.

    La cloture US de Dredi et les "petits" évennements du week end plaident pas pour une open en forte hausse. Au moins on oublie le Japon (et pourtant, voir le site dédié, merci encore pour le travail) et la Gréce.... sachez qu'environ 85  des intervenants market sont persuadés d'une restructuration Grecque. Un score d'élection africaine.

    Mais cette nuit, c'est l'affaire DSK qui va faire les choux gras des médias et reconnaissons le, pour mon plus grand plaisir et parce que je suis passionné, j'ai rarement autant entendu parler bourse ce week end.

    Vala... ça c'est fait.

     Pour les amateurs y'a dans la colonne de droite (RUBRIQUES) un forum.... on peu y poser un sujet, n'importe lequel et des images (graphes etc).... en fait sauf la partie pub interdite visiblement ici, c'po mal du tout comme site.... mais zébu oblige..... ça me pose un probléme.

     

    Hello les zamies et les zamis !!

     

    Purée le Dominique nique nique.. s'en allait tout simplement.... les menottes aux poignets... ça va faire bon poids cette affaire.

    Orange box is dead or not ? hum hum en tout cas ça sent pas terrible sur les précurseurs nocturnes.

    Merci a Doud pour le commentaire, oui pas mal de choses se percutent avec donc en vrai sujet grave la question du fonctionnement de l'Etat Federal via le plafond de dette. Obama met donc une pression d'enfer sur le Senat. ils augmenteront le plafond, pas question de bloquer... mais celà l'objet de sombres tractations c'est une certitude. Il utilise l'arme de "la pire recession bla blabla". Purée lui le mister "ça va mieux" qui nous joue de la mandoline depuis des mois..... il met pas longtemps à retourner sa veste hein ? ça donne une idée sur la conviction qui l'anime à propos donc de la reprise chantée à qui veut l'entendre.

     

    Donc open sous la orange box (donc sous 3980) nous donne la perspective d'aller combler le gap 3908/3948. A noter que celà forcerait le passage sous le barycentre "mauve". Donc effet balancier serait engagé.

    Si on devait choisir une cible avec ce systéme, ca nous projette à 3880/3850.

    De fait la grande ETE inversée.. bé on garde les lignes principales en tête, mais les implications peuvent passer à la benne à ordures, c'est cuit. Comme quoi une figure chartiste c'est une chose, mais faut surveiller. Le pull back sur ligne de cou n'a pas donné l'impulsion escomptée, donc kaput.

    L'euro déborde les plus bas récents également.. on le surveillera... mais franchement, jouer des call sur rebond.. humpf humpf.... pas trop envie, faut toucher un trampoline avant et là je trouve pas grand chose de bien costaud à me mettre sous la dent.

     

    On s'en tiendra donc au niveau d'open 3980 selon qu'il soit battu ou pas, avec sans doute à un moment ou à un autre une tentative pour y revenir. SI open sup 3980... bah on passe en call avec comblement gap à faire puis MA20. Mais franchement je suis pas dans cette tendance, puisque le marché a montré son incapacité à dépasser le mid de la chute précédente (les fameux 4060) ou tout du moins à cloturer au dessus.

     

    Bref la situation ne sera un peu plus cliare qu'une fois réglé le cas de l'orange box, pas certains qu'on fasse une fausse sortie pour le coup....

     

    Bonne journée, bons trades et gagnez des sous !!

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    Dimanche 15 Mai 2011 à 23:59

    Dette: Obama redoute "une récession encore pire que la précédente"

    Les Etats-Unis pourraient se retrouver confrontés à une récession encore plus grave que celle dont ils sortent à peine si le Congrès ne relève pas la limite légale à l'endettement du pays, a averti le présidentBarack Obama selon des propos diffusés dimanche.
    L'endettement de l'Etat fédéral doit atteindre lundi le plafond de 14.294 milliards de dollars, au-delà duquel Washington ne peut accroître sa dette nette sans autorisation du Congrès. Mais la majorité républicaine de la Chambre des représentants refuse de relever ce plafond sans que l'administration Obama s'engage à réduire considérablement les dépenses.
    Dans un entretien à la chaîne de télévision CBS, M. Obama a averti que la perspective d'un blocage au Congrès risquait de faire redouter aux marchés financiers que les Etats-Unis n'honorent pas leur dette.
    "Cela pourrait défaire le système financier tout entier", a mis en garde le président, lors de cet entretien enregistré la semaine dernière.
    "Nous pourrions subir une récession encore plus grave que celle que nous venons de traverser. Un crise financière mondiale plus grave. Nous ne pouvons donc même pas nous permettre de songer à ne pas relever le plafond de la dette", a-t-il plaidé.
    M. Obama s'est engagé à également réduire le déficit des finances publiques, mais a récusé tout "lien" entre cette question et celle du relèvement du plafond de la dette.
    Le président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, interrogé en direct sur CBS, a assuré que son parti était prêt à un compromis immédiat sur le relèvement du plafond mais a insisté pour "répondre aux problèmes budgétaires à long terme" du pays.
    "Nous arrivons à un moment tout trouvé pour agir. Car, si nous ne le faisons pas, les marchés le feront pour nous", a-t-il prévenu. "Je veux faire en sorte qu'il y ait de véritables réductions des dépenses et de vrais changements dans le processus budgétaire pour que 

    Dette: Obama redoute "une récession encore pire que la précédente"

    Les Etats-Unis pourraient se retrouver confrontés à une récession encore plus grave que celle dont ils sortent à peine si le Congrès ne relève pas la limite légale à l'endettement du pays, a averti le présidentBarack Obama selon des propos diffusés dimanche.
    L'endettement de l'Etat fédéral doit atteindre lundi le plafond de 14.294 milliards de dollars, au-delà duquel Washington ne peut accroître sa dette nette sans autorisation du Congrès. Mais la majorité républicaine de la Chambre des représentants refuse de relever ce plafond sans que l'administration Obama s'engage à réduire considérablement les dépenses.
    Dans un entretien à la chaîne de télévision CBS, M. Obama a averti que la perspective d'un blocage au Congrès risquait de faire redouter aux marchés financiers que les Etats-Unis n'honorent pas leur dette.
    "Cela pourrait défaire le système financier tout entier", a mis en garde le président, lors de cet entretien enregistré la semaine dernière.
    "Nous pourrions subir une récession encore plus grave que celle que nous venons de traverser. Un crise financière mondiale plus grave. Nous ne pouvons donc même pas nous permettre de songer à ne pas relever le plafond de la dette", a-t-il plaidé.
    M. Obama s'est engagé à également réduire le déficit des finances publiques, mais a récusé tout "lien" entre cette question et celle du relèvement du plafond de la dette.
    Le président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, interrogé en direct sur CBS, a assuré que son parti était prêt à un compromis immédiat sur le relèvement du plafond mais a insisté pour "répondre aux problèmes budgétaires à long terme" du pays.
    "Nous arrivons à un moment tout trouvé pour agir. Car, si nous ne le faisons pas, les marchés le feront pour nous", a-t-il prévenu. "Je veux faire en sorte qu'il y ait de véritables réductions des dépenses et de vrais changements dans le processus budgétaire pour que ce genre de problème ne se reproduise pas", a-t-il ajouté.

    Les républicains refusent l'idée du président Obama d'augmenter les impôts sur les plus hauts revenus afin de réduire le déficit budgétaire. L'administration quant à elle refuse de réduire les dépenses sur la protection médicale des pauvres et des personnes âgées.sur les plus hauts revenus afin de réduire le déficit budgétaire. L'administration quant à elle refuse de réduire les dépenses sur la protection médicale des pauvres et des personnes âgées.

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