• J'suis v'nu, J'ai vu.. G 20cu ?....

    J'suis v'nu, J'ai vu.. G 20cu ?....

    Hello les zamies et les zamis !

    Tout d'abord encore merci pour vos messages de soutien. Ma compagne est trés touchée, son pére est parti, trop jeune, trop abimé par une vie au parcours difficile.

    Revenons à notre petit loisir, graphe en UT jour.

    En orange notre "caréne" de bateau. Manque peut être un dernier contact dessus. En gros pour être complétement symétrique avec le mouvement lors de la descente aux enfers (3 touchettes sous forme de meches basses) la partie montante deviendrait plus tangible si elle donnait un coup de pied au market, encore faut il y retourner pour donner cette occasion. Ca nous fait, vu la pente assez forte, une possibilité de touchette entre 3037 (lundi) et 3101 (Dredi). Chiffres estimés of course, difficile d'avoir la précision de la NASA sur la lecture d'un graphe "à quelques sous prés).

    La figure en bleu n'est pas un biseau descendant, il manque le jeu de l'oscillation entre la RoB et le SoB (Resistanceet Support oblique Baissier).

    Je préfére donc me concentrer sur la construction de points bas dans la partie coque de bateau et donc la ligne de flottaison qui se situe dans les zones dures orange et rouge.

     Si on regarde l'indicateur RSI... on peut (chaussez vos lunettes de lapidaires) commencer à voir une ETE inversée... donc lundi ou la semaine prochaine un petit low au programme... et ensuite... hum hum.... p'tet enfin le signal que nous attendons pour passer aux choses sérieuses.

    A noter qu'on est au dessus de 3 moyennes mobiles, 20 et 50 (la derniére presque retouchée "comme imaginé") et de grande justesse pour la MA7... et que nous sommes revenus taper le haut de la pointe du diamant. Et toc.

    Sur une vue en UT hebdo, le tablea est un peu moins fameux, avec notament une cloture assez éloignée de celle de Dredi passé (3217).

    En plus question timing ça serait amusant, aprés un sommet  ce week end sans doute "épuisant" pour la question des choix sur la carte des vins... et peu de résultat au final, sans doute un peu plus de matériel propice à de la hausse à compter de mercredi et donc la éniéme rencontre du couple Franco Allemand, qui décidément est pour le moins leader de ce qui se fait dans le landernau europe. Ajoutons le G20 donc de novembre... pour faire bonne mesure dans ce désordre apparent.

    Sans doute par là que ça se joue, d'autant plus qu'il semble que les BRIC seraient à roder autour du FESF pour sauver les PIGS.. et donc la CEE.... (comme série d'accronymes imbuvables, je crois qu'on fait difficilement mieux).

    Bref les pays émergés seraient plus ou moins en train de poser des jalons pour équilibrer la situation européenne, en venant mettre leur poids dans le gros pot merdeux de la dette européenne. Faut dire qu'aller soutenir un des "bons clients" n'est pas une mauvaise stratégie non plus, surtout si l'on veut avoir des voix supplémentaires dans le concert des nations.

    L'idée reposerait donc dans cette alliance transcontinentale et trans océanique. J'avais pas pensé à celà, j'imagine que l'europe doit faire une pesée scientifique des ce que lui couterait ce soutien international, comme concessions ultérieures.

    Au final des choses semblent se mettre en place pour solder durablement (mais pas définitivement) la question de la stabilité européenne.

    Effet induit, la monnaie monte plutot nettement, l'euro profite grandement de l'affaire et performe à son tour, une approche des 1,394 pourrait catapulter le couple eurodollar vers les 1,4084.. ozne limite au delà de l'aquelle l'USD repasserait assez nettement en zone de faiblesse.

     Autre chapitre interressant, les Q3 US.... bé ça se passe plutot pas mal, si ce n'est qu'outre des publication pas mal du tout (malgré une situation économique mondiale pourrie on va s'apercevoir que les grandes Stés sont trés résistantes, mais bon laissons naitre l'idée....) a commencer par le thermométre General Electric, tous les feux sont au vert... progression des chiffres parfaite et surtout carnet de commande stipulé comme étant record (191 milliards d'USD... pas rien non ?).

    Il est clair qu'une dégradation des budgets des états pourrait affecter le conglomérat, mais tout de même, y'a de l'eau dans le tuyau non ?

    Coté politique la fracture nord sud se fissure de plus en plus, le pont franco allemand, reste "cordial" mais on a tout de même l'impression que c'est le camp allemand qui est pressé de faire des concessions (et pas celle de BMW ou Mercedes... lol).

    Pourtant, trés honnetement, il va falloir s'habituer à l'idée que chaque zone économique dispose de ses zones "riches" et d'autres moins.. seul le ciment patriotique (et donc celui d'être "européen" est peut être encore trop frais).

    La Gréce, on peut tourner le probléme dans tous les sens... ça marchera jamais, sauf donc à transposer un systéme social et notament fiscal qui ne marche qu'avec d'utres hommes.. et donc pas des grecs. Arf.

    L'italie est riche au nord et pauvre au sud.... les Etats Unis idem avec des états spécialement mal lottis au sud .... bref on le voit, la couche de richesse n'est pas uniforme, mais les aspirations sociales elles sont plus promptes à être reproduites par delà les frontiéres... personne n'aime être pauvre à vrai dire.

    Le cap suivant est il d'organiser zone par zone une frontiére entre "riches et pauvres" ? la solidarité à l'échelle de plusieurs centaines de millions d'habitants ? oula vaste débat ou chacun regardera son compte épargne et sa retraite avant celle du voisin.

    Petit modérato sur l'affaire.. on parle beaucoup trop (sur les marchés) des questions souveraines sur les indices. Les bancaires, cause de tous les maux, sont déjà trés trés sanctionnées sur leurs prix de marché... mais les bénéfices pleuvent encore sur les actionnaires sur les autres compartiements.

    Il serait temps de s'en rappeler tout de même.

    Pour la partie technique et décorticage du FESF... je crois que la papier d'Hemvé est largement assez clair pour voir les enjeux et les divergences dans l'attelage franco allemand.

    Y'a du travail pour trouver une solution de type concensus.. plus communément appelée "pis aller".... le jonglage français étant de ne pas remettre trop sur la sellette sa note... et ne pas froisser celle qui radicalise le débat... la cousine d'outre rhin.

    Je mettrais bien 100 sous sur une piéce en 2 actes.. un gros "rien" ce week end, et un second tour mercredi qui lui accoucherait (c'est la mode...) enfin d'un package ralliant les arguments principaux de chacun.

    .

    Le big boss ? ok pour une fois, excusez moi pour la pourritude du graphe, mais j'ai pas mieux, on reparle du SP500 en image(rectifié à la main... encore et toujours faux les graphes US le Dredi soir..) :

     J'suis v'nu, J'ai vu.. G 20cu ?....

    Ca parait impec tout ça hein ? Les indics sortent la tête de l'eau chacun de leur coté, les prix nous gratifient d'une "meilleure cloture depuis le 4 aout". Bref comment dire sinon que tout nous est montré vers le ciel.

    Bon ok y'a tout de même un truc qui cloche un peu dans l'affaire, ça serait trop beau, et d'une on a laissé un gap hebdo à 1155 et de 2 j'ai la vague impression tout de même qu'on recommence le scénario de hausse à l'arrachée dans un dernier rush final.

    Pour preuve les UT trés courtes qui montrent que les fins de séances sont vachement tractées.. Dredi on récupére en 10/15 minutes les 7 points de SP qui vont bien.. et au final en intraday on marque quand même un double top.

    Donc pas si rose qu'on veut bien le montrer, le SP, sans faiblir vient de reprendre en 3 semaines 162 points.... un bon gros 15% sur son plus bas donc.

    Et au final le cut grec va s'établir dans "le haut de la fourchette" donc probablement un peu au delà des 50%.

    Le tout sera donc suivi sans doute d'un chiffrage net des évneutles besoin en recapitalisation. La "bonne" surprise serait que les grandes françaises confirnent leur absence de nécessité sur ce plan. Mais par le jeu des participations croisées ? allez savoir. Si définitivement NON... ça pourrait justifier un ajustement assez fort sur ces valeurs massacrées.

    Arg.

    Ha oui au fait... ALLEZ LES PETITS !!

     

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    doudou13010 Profil de doudou13010
    Samedi 22 Octobre 2011 à 10:14

    pitite lecture matinale...et oui, "le capitalisme c'est l'homme est un loup pour l'homme et le communisme exactement le contraire" (Michel Colucci)

    http://www.liberation.fr/monde/01012367051-la-chine-s-interroge-sur-son-egoisme-apres-la-mort-choquante-d-une-enfant

     

    2
    Hemve31
    Samedi 22 Octobre 2011 à 10:27

    L’€ mène toujours la danse


    Les enjeux du sommet européen à haut risque, en deux phases : dimanche et mercredi prochains,


    La France fait tanguer l’avenir du FESF et de la zone euro


    Fort désaccord entre la France et l’Allemagne, et aussi entre latins et nordiques


    La zone euro au bord de la rupture


     


    Quelques réflexions  dans « le CAC vu de Nouillorque  », du 21 octobre 2011  sur le 


    le lien ci joint :


    http://www.cijoint.fr/cjlink.php?file=cj201110/cij9QMUb01.pdf 


     


     Hemve 31


     

    3
    occocc Profil de occocc
    Samedi 22 Octobre 2011 à 21:26
    4
    Sora2 Profil de Sora2
    Dimanche 23 Octobre 2011 à 03:34

    Le marché ne croit plus au "triple A" français

    Les investisseurs anticipent d'ores et déjà que la France risque d'avoir du mal à conserver la meilleure note possible auprès des agences d'évaluation financière, comme l'atteste l'écart toujours plus important entre le rendement des obligations françaises et allemandes. Pour la première fois, l'écart (spread) entre les taux des deux pays a dépassé 120 points de base en séance vendredi.

    Par comparaison, il n'est que de 45 points de base pour les Pays-Bas, 49 pour la Finlande ou 72 pour le Royaume-Uni, tous détenteurs eux aussi de la note maximale "AAA". "Il faut être réaliste, aux yeux du marché, la France a déjà perdu son précieux triple A", commente Philippe Hab, gérant de fonds pour la société de gestion SPGP. Ce sésame lui permet d'emprunter dans des conditions très favorables pour financer ses déficits budgétaires.

    Trop risqué

    La société d'investissement Carmignac Gestion, très friande de titres de dette française jusqu'au début 2011, fuit ce type d'actifs qu'elle juge désormais trop risqués. "Nous ne détenons plus d'obligations françaises dans nos portefeuilles et nous ne comptons pas revenir sur ces titres pour l'instant", indiquait jeudi Didier Saint-Georges, membre du comité d'investissement de la société, un des poids lourds européen avec 45,5 milliards d'euros d'actifs gérés.

    "La note de la France est menacée et la situation s'avère délicate. Plus qu'une hausse d'impôts, il faudrait procéder à une réduction des dépenses publiques, ce qui paraît très difficile en période électorale. Or, je ne sais pas si les agences de notation auront la patience d'attendre mai 2012", expliquait Didier Saint-Georges. Selon Philippe Hab, les investisseurs s'inquiètent aussi du fait, même s'ils ne veulent pas l'admettre, que la gauche remporte l'élection présidentielle. "Un gouvernement socialiste sera peu à même, aux yeux du marché, de mettre en place une fiscalité plus importante", commente le gérant.

    Mais c'est surtout le spectre d'un ralentissement de la croissance française qui inquiète par dessus tout. "Le pays s'apprête à abaisser ses prévisions économiques pour 2012. Sans croissance, il ne pourra jamais se désendetter. Il semble bien que l'on soit entré dans une spirale infernale", souligne un analyste parisien sous le couvert de l'anonymat.

    Les CDS montent

    Première à écorner le précieux "triple A" français lundi, l'agence d'évaluation financière Moody's Investors Service s'est donnée trois mois pour déterminer si la perspective "stable" de la note souveraine de la France était toujours justifiée au vu de la dégradation de la situation économique.

    Dans un scénario du pire, qui tente d'extrapoler les conséquences d'une rechute violente dans la récession de la zone euro, sa concurrente Standard & Poor's a envisagé de son côté une baisse de la note d'un cran, à "AA+". "Ces simulations ne reflètent pas les hypothèses de base de Standard & Poor's, qui sont celles intégrées dans les notes actuelles", a toutefois précisé une porte-parole de l'agence américaine.

    Mais les pressions des marchés sont de jour en jour plus perceptibles. Ainsi, les CDS, les contrats d'assurance contre le défaut de remboursement, sur la France, ressortaient à 190 points de base ce vendredi. Cela signifie que pour s'assurer contre le défaut de paiement de l'État français sur une dette de 10 millions d'euros à échéance de cinq ans, un investisseur devra s'acquitter de 190 000 euros par an.

    5
    fifisay
    Dimanche 23 Octobre 2011 à 11:26

    merci pour l article

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